


Qu’il s’agisse d’un discours, d’un livre ou d’une tribune, voici 3 étapes simples (mais pas si faciles…) pour vous aider à enfiler le costume de votre client.

Avant de passer à l’édition proprement dite pour améliorer la qualité de votre texte, vous devez le relire et le corriger attentivement. Il serait tout de même dommage de publier une oeuvre truffée de fautes, non ?
Pour vous y aider, voici 3 astuces (très) simples à mettre en oeuvre.
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Le bon état d’esprit : écrire vite et bien
Pour écrire vite et écrire plus, la première chose à faire est d’adopter le bon état d’esprit. Oubliez ce mythe qui voudrait que si on écrit vite, on écrit forcément mal. La littérature ancienne et la littérature contemporaine sont la preuve du contraire :
Et chez les auteurs encore en vie ? Eh bien Nora Roberts met 45 jours pour écrire un livre (et en a déjà publié 200), Michel Onfray publie entre 2 et 4 livres par an (et c’est souvent du gros bouquin), idem pour James Altucher ou Joanna Penn (qui écrit aussi bien de la fiction que de la non-fiction)… Les exemples sont nombreux.
On peut donc écrire vite et bien si on le décide et qu’on s’organise pour le faire (et si vous lisez l’anglais, je vous recommande ce super article de Dean Wesley Smith sur ce sujet).
C’est ce qu’on dit, mais je n’y crois pas. Tout dépend des objectifs de chacun, mais l’auto-édition et l’édition à compte d’auteur ne sont pas forcément à dénigrer. Et vous savez quoi ? Marcel Proust est d’accord avec moi !
